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💫 Comprendre l’addiction : un message du corps, pas une faiblesse

  • Photo du rédacteur: antoine marguerie
    antoine marguerie
  • 27 oct.
  • 4 min de lecture

addictions

Pourquoi je suis attiré(e) par une addiction (tabac, alcool, sucre, jeux, sexe, réseaux…) ?


Tu es peut-être dans cette situation : tu ressens un vide, une tension, une douleur intérieure que tu n’arrives pas à nommer. L’addiction (à une substance ou à un comportement) apparaît souvent alors comme « la seule issue » ou « le moyen d’oublier pour un moment ». Et pourtant, ce comportement ne vient pas de nulle part : il est souvent le reflet d’un déséquilibre émotionnel, énergétique ou spirituel.


1. L’addiction : un symptôme, pas un jugement


D’après les recherches du Mayo Clinic et de la UKAT London Clinic, plusieurs facteurs interviennent dans le développement des dépendances :

  • un environnement familial difficile ou instable ;

  • des traumatismes émotionnels ou physiques ;

  • une santé mentale fragilisée (anxiété, dépression, vide affectif) ;

  • des influences génétiques ou sociales.

Concrètement :

  • une blessure ancienne (abandon, rejet, trahison) peut rester « bloquée » dans l’inconscient ;

  • un stress continu ou une émotion non exprimée pousse le corps à chercher un réconfort immédiat (sucre, alcool, sexe, jeux, etc.) ;

  • une addiction comportementale (réseaux sociaux, travail, sport, sexualité) peut être une tentative de combler un vide, de fuir la solitude ou de retrouver une sensation de contrôle.


👉 Ainsi, l’addiction ne révèle pas une faiblesse, mais un message du corps et de l’âme :

« Quelque chose en moi cherche à être vu, entendu et guéri. »

2. Les différentes formes d’addiction – et ce qu’elles révèlent


  • Tabac, alcool, médicaments : souvent liés au besoin d’apaiser une douleur intérieure, une angoisse, une peur de ne pas tenir.

  • Sucre, alimentation compulsive : un besoin de se consoler, de combler un vide émotionnel ou affectif.

  • Jeux, réseaux sociaux, écrans : une recherche de stimulation, d’évasion, ou une manière d’éviter le silence intérieur.

  • Travail excessif, sport intensif : une fuite par la performance, la peur du vide ou du non-contrôle.

  • Addiction sexuelle : selon les recherches de la American Psychological Association (APA) et de la Cleveland Clinic, la dépendance sexuelle (ou hypersexualité) n’est pas liée à la libido en soi, mais à une recherche de soulagement émotionnel ou de validation. Elle peut exprimer un besoin d’amour, de reconnaissance, ou une manière d’anesthésier des blessures d’abandon ou de rejet.


📌 Ces comportements ont tous en commun de vouloir réparer une douleur non guérie mais ils laissent souvent des traces dans le corps et dans l’énergie : tension, fatigue, troubles du sommeil, déséquilibres émotionnels, perte de vitalité...


3. Pourquoi le mental ne suffit pas


Beaucoup essaient d’arrêter par la seule volonté : « Je vais me contrôler », « je vais arrêter ».Mais comme le confirment plusieurs études (dont celles citées par UKAT London Clinic), les circuits de récompense du cerveau sont modifiés par la répétition du comportement ou de la substance.

La pensée seule ne peut donc pas tout résoudre. Pour une guérison durable, il faut écouter le corps et les émotions, et non pas seulement le mental.


C’est là qu’intervient l’approche énergétique et quantique, qui agit à la source.


4. L’approche énergétique : aller au-delà du symptôme


En tant que guérisseur quantique, je perçois l’addiction comme un symptôme énergétique, une manière pour l’âme d’attirer l’attention sur un déséquilibre plus profond.

Le soin énergétique quantique agit sur plusieurs plans :


  • Libération émotionnelle : accueillir et libérer les émotions retenues (culpabilité, honte, colère, peur).

  • Harmonisation énergétique : réaligner les corps subtils (physique, émotionnel, mental, spirituel).

  • Réinformation quantique : rétablir le flux de l’énergie vitale pour retrouver la clarté et la stabilité intérieure.


⚠️ Ce travail vient en complément d’un suivi médical ou thérapeutique il ne le remplace pas. Certaines dépendances (notamment à des substances ou liées à des comportements compulsifs) nécessitent un accompagnement médical ou psychologique adapté.



5. Que peux-tu faire dès maintenant ?


  • Reconnaître que tu n’es pas seul(e) et que ton addiction est un signal, pas une faute.

  • Demander un bilan médical ou psychologique si nécessaire.

  • Explorer des pratiques de soutien : méditation, respiration, écriture intuitive, marche consciente.

  • T’ouvrir à un soin énergétique ou quantique pour libérer les mémoires émotionnelles à la racine.

  • Te donner le droit de t’aimer, même au cœur de la dépendance : c’est le premier pas vers la liberté.


6. Pourquoi cela fonctionne-t-il ?


Quand l’énergie se remet à circuler, le besoin de compenser diminue. Tu ne luttes plus contre ton corps : tu l’écoutes.


Tu peux alors :

  • ressentir moins d’envies automatiques ou compulsives ;

  • retrouver la paix intérieure et l’équilibre émotionnel ;

  • renouer avec une sexualité, une alimentation, un rapport au corps plus conscients et apaisés ;

  • te réaligner à ton essence véritable, celle qui ne cherche plus à fuir, mais à vivre.



Conclusion


L’addiction n’est pas une punition, mais une invitation à guérir ce qui appelle en toi. Elle te montre la voie de la libération, si tu acceptes de la regarder autrement. En combinant suivi médical, accompagnement thérapeutique et travail énergétique, tu t’offres une transformation durable pas seulement un arrêt du symptôme, mais un retour à ton pouvoir intérieur.

Si tu ressens cet appel à comprendre et à te libérer, je t’accompagne à identifier les blocages, à libérer l’énergie et à retrouver ta liberté intérieure.

Antoine Marguerie – Canal, médium et guérisseur quantique. Soins énergétiques, guidance intuitive et soins de libération pour retrouver paix intérieure, fluidité et légèreté au quotidien.


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